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 Actualités Rugby

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Gaigo
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MessageSujet: Actualités Rugby   Actualités Rugby Icon_minitimeVen 12 Oct - 20:10

Elissalde : «Soyons sûrs de nous»
Actualités Rugby 121007_elissalde

Il restera pour toujours celui qui a couru vers son propre camp avec le ballon pour précipiter la fin du quart de finale lors de la victoire historique des Bleus contre les Blacks, samedi dernier (20-18). Jean-Baptiste Elissalde a pourtant été l'un des premiers à classer cette rencontre pour se focaliser sur la demi-finale face à l'Angleterre. Fatigué et méfiant, il n'est pas inquiet par rappport à l'issue de cette rencontre, à condition que les Bleus restent sérieux et appliqués. Avec un discours de capitaine, il sonne le rappel des troupes.


«Jean-Baptiste Elissalde, quelle est l'ambiance au sein de l'équipe de France, à quelques heures du match ?

L'ambiance est bonne, elle l'a toujours été d'ailleurs. Au niveau de l'état d'esprit, j'espère que tout le monde est bien concentré sur l'objectif. Physiquement, en revanche, on a souffert, on a laissé pas mal de forces à Cardiff. Cinq jours sont passés, j'espère que ça va suffir à réparer les bobos. Ca va être compliqué, parce qu'on est fatigués. Mais il n'y a pas plus d'inquiétude que ça. On s'est fixé un plan, différent de celui de la semaine dernière. J'espère, comme la semaine dernière, qu'on restera très intelligents sur ce qui nous a été demandé. J'espère qu'on va juste le prendre comme un match de rugby, en écartant toute la pression négative. Après je ne vois pas pourquoi ça se passerait mal.


Vous avez été l'un des premiers à parler de ce match, dès Cardiff, quelques minutes à peine après la victoire contre les Blacks. Vous étiez déjà tourné vers cette demi-finale ?

Je suis rentré dans ces matches depuis quelques mois maintenant. Je me suis toujours préparé en ayant en tête ces moments-là. C'est malheureux de ne pas avoir profité de la performance de la semaine dernière, parce que c'est quand même assez exceptionnel de battre ce qui se fait de mieux au monde. Mais c'est comme ça, on aura le temps de savourer après. Il faut garder la tête froide.


Que pensez-vous de cette équipe d'Angleterre ?

Il faut s'en méfier. Ils ont eu un début de parcours délicat, un peu comme nous. Eux ont eu beaucoup plus de blessés, mais ils commencent à retrouver une ossature d'équipe. Je pense que tout ce qui est dit dans les journaux, à la télé, c'est du bluff. Ils vont rentrer sur le terrain pour gagner, nous aussi, et ce sera un combat très féroce, et je pense que ce sera le match le plus difficile de la compétition. Peu importe la forme, on verra ce qui se passera, mais on a une ligne de conduite à suivre, il ne faut pas s'en écarter. Je pense qu'on aura plus de ballons que contre les Blacks, il faudra bien les utiliser. Il y a des lancements de jeu à mettre en place, il faudra de suite les mettre à la faute ou nous mettre en position de marquer. On sait qu'ils ont une grosse défense, un gros paquet d'avants, qu'ils occupent bien le terrain, mais tout ça, c'est la base de toutes les équipes à ce niveau depuis longtemps.


Vous abordez les derniers matches de la compétition. En quoi sont-ils différents à préparer ?

Ce sont les matches les plus durs à aborder, parce qu'on est à la fois proches du terme d'une compétition, d'un titre, et à la fois très loin parce qu'il reste quand même deux matches, sûrement les plus délicats. On rentre dans des phases éliminatoires, avec une grande pression. La semaine dernière, c'était un peu faussé, parce que nous n'avions pas grand chose à perdre. Là on a beaucoup plus à perdre, j'espère que ce n'est pas le danger. Est-ce qu'on ne vas pas se relâcher? C'est toute la question, on aura la réponse samedi soir. Mais j'ai l'impression que tout le monde est concerné. Il faut juste être encore très forts mentalement.


Comment s'est déroulée cette semaine de préparation ?

Tout le monde est mâché. On a quand même beaucoup subi à Cardiff, on a perdu énormément de gaz. On est fatigués physiquement, il a fallu s'employer à récupérer, et ça c'est un point important de notre préparation pour la demi-finale. Mentalement, on est plutôt bien, cette victoire contre les Blacks nous a ragaillardis. J'espère que notre côté latin ne va pas resurgir, avec un relâchement après une belle performance. Ce serait dommage. Il y a eu une grosse prise de conscience cette semaine, avec de mutliples rendez-vous pour dire que ce n'était pas une fin en soi de battre les Blacks, qu'on n'était pas champions et que notre objectif est toujours d'aller le plus loin possible. J'espère que c'est rentré dans la tête des joueurs, en ce qui me concerne, c'est clair. Mais on sera prêts samedi. Notre chance, c'est qu'on a vraiment trente joueurs de qualité, et on a un gros banc de touche qui doit ête un atout. Et si on ne s'écarte pas de notre ligne de conduite, je ne vois pas ce qui pourrait nous perturber, à part une défaillance physique. Soyons sûrs de nous. On a quelque chose de trop beau à faire.»
Source: L'équipe.fr
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Gaigo
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MessageSujet: Re: Actualités Rugby   Actualités Rugby Icon_minitimeDim 14 Oct - 12:15









Mondial: l'échec français








PARIS (Reuters) - Encore une fois le XV de France a échoué dans sa quête du titre mondial et encore une fois, la seconde de l'ère Laporte, il a échoué au niveau des demi-finales et face à l'Angleterre.


Rien de comparable pourtant entre la défaite 24-7 de Sydney, le 16 novembre 2003, et l'échec 14-9 du Stade de France, le 13 octobre 2007.
L'adversaire pour commencer était à la fois le même et à la fois un autre.
L'Angleterre de 2003 était dominatrice au point que quatre ans plus tard l'entraîneur du XV de France a reconnu qu'elle était "plus forte".

L'Angleterre 2007 sort elle d'une longue période de décadence. Sous les ordres d'un entraîneur nommé il y a quelques mois à peine pour enrayer une vertigineuse série de défaites, Brian Ashton, elle avait subi l'infamie d'un 36-0 face à l'Afrique du Sud en match de poule.
Les Anglais avaient des armes, certes, le poids de leurs avants, les jambes de Jason Robinson, la froideur meurtrière de Jonny Wilkinson, une ténacité digne des héros de la Bataille d'Angleterre.

La France aussi était différente et elle avait ses propres armes. Jamais, ses entraîneurs et ses joueurs n'avaient bénéficié d'une telle préparation: Coupe du monde à domicile, quarante joueurs rassemblés pour la préparation pendant le Tournoi des Six Nations, réunion des 30 survivants de l'écrémage pendant deux mois et demi avant le premier coup d'envoi.
Le résultat, pourtant, a été identique même si la supériorité de l'Angleterre a été plus longue à se dessiner dans un match que les statistiques - 88% de plaquages réussis côté Français, 88,7% côté anglais; 52% de possession du ballon et 57% d'occupation du terrain pour la France - montrent équilibré.

EXPLICATIONS ET ANALYSE:

Dans son discours d'après-match, dont la froideur était loin de refléter la gravité du moment, comme s'il était déjà dans un ailleurs, Laporte a eu raison lorsqu'il a déclaré: "Une demi-finale se joue à pas grand chose, là ça s'est joué à rien."
Dans les jours à venir, toutes les explications vont aller dans ce sens.

Joueurs et entraîneurs vont expliquer que le match s'est joué sur des détails, comme presque toujours, comme le 12-10 de la victoire de l'Angleterre sur l'Australie en quart de finale ou le 20-18 de celle de la France sur les All Blacks.
Damien Traille, arrière valeureux mais de fortune, a déjà invoqué une glissade pour justifier l'essai marqué par Josh Lewsey dès la 2e minute de jeu. D'autres parlent de mauvais rebond.

Dimitri Szarzewski explique par "un réflexe" sa faute sur Robinson qui a permis à Wilkinson de redonner l'avantage aux Anglais à la 74e minute.
La sortie de Fabien Pelous, qui a contraint Sébastien Chabal à jouer plus d'un quart d'heure à son nouveau poste de deuxième ligne, "n'a pas aidé", a dit Laporte.
D'autres citent "le manque de gaz". Tous disent leur déception, leur frustration et leur peine mérite compassion.

Les vraies explications viendront plus tard. Elles viendront d'analyses qui ne vont pas manquer de remonter à la composition du groupe des 30, au match d'ouverture psychologiquement raté contre l'Argentine, aux changements de joueurs et donc de stratégie.
Reste le match pour la troisième place, vendredi.
En 2003, l'agonie avait été lente avant la défaite face à la Nouvelle-Zélande. La semaine avait été dévorée par le départ en catastrophe du capitaine, Fabien Galthié, et une polémique sur la décision de Bernard Laporte d'aligner les "costard-cravate" contre les All Blacks.
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Gaigo
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MessageSujet: Re: Actualités Rugby   Actualités Rugby Icon_minitimeDim 14 Oct - 19:07

Coupe du Monde - Laporte : "Un échec

Actualités Rugby 3963326695









La mine défaite, Bernard Laporte, sélectionneur du XV de France, a expliqué l'élimination des Bleus en Coupe du monde par une trop grande fébrilité offensive. Selon, lui, les Français n'ont pas osé.


Quelle est votre réaction après ce match ?
Bernard LAPORTE :
Je suis très déçu. Nous voulions aller en finale. Notre parcours s'arrête là. Les Anglais étaient costauds devant, performants dans l'occupation du terrain, nous nous attendions à ça. En fait, nous n'avons pas su nous libérer. Chaque équipe craignait la défense adverse, avait un jeu timoré et l'occupation du terrain était prioritaire. A la 68e, nous avons eu la possibilité de faire le break avec la percée de Vincent Clerc mais Worsley l'a empêché de marquer de peu. C'est le tournant du match je crois.
Ensuite, ils sont revenus chez nous, nous avons fait un renvoi aux 22 mètres trop court, nous sommes restés chez nous et puis il y a eu cette pénalité. L'essai d'entrée nous a fait mal aussi. Ces cinq points ont été difficiles à rattraper. C'est une déception immense, mais je tiens à féliciter les joueurs, qui ont montré beaucoup d'âme, d'envie, même s'il y en avait aussi en face. L'Angleterre a montré qu'elle est une grande nation du rugby, qui a relevé la tête comme nous. Il faut la féliciter aussi.

Vous le disiez, on a l'impression que les Français n'ont pas osé jouer...
B.L. :
C'est ce qu'on s'est dit à la mi-temps. Qu'il fallait mettre plus de rythme en seconde période. Il y a d'ailleurs deux ballons en première période que nous tentons en drop alors qu'il faut jouer à la main. Force est de reconnaître que les avants anglais ont été performants et qu'il était difficile de jouer après eux. Nous avions décidé de passer par-dessus et nous ne l'avons pas assez fait. Nous avons trop usé des chandelles et pas assez du jeu au pied offensif.

La sortie de Fabien Pelous a-t-elle été un moment-clé ?
B.L. :
Fabien est un élément important. Nous connaissons aussi les performances de Sébastien (Chabal, ndlr) quand il entre en fin de match et quand il a la possibilité de concentrer toute sa puissance. Là, sa puissance a perdu de son importance en jouant une heure. Mais il a fait un bon match quand même. Nous aurions préféré garder Fabien une heure et laisser Sébastien dans son rôle habituel mais la blessure fait partie du jeu. Et elle ne nous a pas aidés.

Considérez que votre Coupe du monde est gâchée, voire ratée ?
B.L. :
Elle n'est ni ratée ni gâchée. Pour nous, elle n'est pas réussie parce que nous voulions être champions. C'est un échec. Maintenant, dire qu'elle est ratée... Nous sommes quand même allés en demi-finale. Non, elle n'est pas ratée, il y a eu un réel engouement autour de l'événement. Après, on ne peut pas dire que cela aura été une grande Coupe du monde au niveau du jeu. Mais c'est comme ça.

Comment allez-vous aborder ce match pour la troisième place ?
B.L. :
Je ne connais pas une équipe qui ne rentre pas sur le terrain pour jouer à fond. Nous allons y réfléchir cette semaine. Il y avait un excellent état d'esprit dans le groupe. Les joueurs qui n'ont pas joué le quart et la demie doivent jouer. Quand ils entreront sur le terrain, ce ne sera pas en se disant qu'ils vont perdre. Ils auront envie de faire honneur au maillot bleu. Je crois que la Coupe du monde 2011 démarre déjà pour nous. Il va aussi falloir se tourner vers le Tournoi des 6 Nations. C'est le début d'une nouvelle aventure pour l'équipe de France.

Pensez-vous que votre bilan à la tête n'est pas bon, sans titre de champion du monde au bout ?
B.L. :

Nous perdons deux fois en demie contre l'Angleterre, oui. En 2003, ils étaient vraiment supérieurs mais aujourd'hui ils ne l'étaient pas. Les deux équipes se valaient. Encore une fois, cela s'est joué à rien. A la 68e minute du match, nous étions en finale. Cela veut dire que nous n'avons pas su faire basculer le match. Maintenant, il faut que le rugby français rebondisse vite, dès samedi et lors du prochain Tournoi des 6 Nations. Ce rugby français est trois fois champion d'Europe en quatre ans et a disputé deux finales de Coupe du monde. C'est bien.
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